Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

GDC NEWS

16 mars 2009

Mastondon sur Deezer

MastodonLe 24 mars prochain, le prochain skeud, très attendu, de Mastodon sera dans les bacs. Mais il est écoutable en intégralité ici et sur leur MS. Un bon kif pour les esgourdes !!

Il est également possible d'admirer leur dernier clip illustrant "Divinations", single, si l'on peut dire, de Crack The Skye.

Publicité
15 novembre 2008

Back In black... Ice

AC/DC : BLACK ICE


black_ice_blancDifficile, vraiment difficile d'être objectif lorsque ce que vous considérez comme le plus grand groupe du monde, qui berce depuis plus d'une décennie vos esgourdes sort un album.

Réussirons-nous à oublier ce que ce groupe représente et ainsi effectuer une chronique impartiale et sans la moindre d'once d'autocensure. Pas sûr... Mais tentons le coup !!



Back to the rock


Après plus de huit ans d'attente, voilà enfin la nouvelle livraison des boys d'Australie. Dire que Black Ice était attendu relève du doux euphémisme. Comme d'habitude, de nombreuses premières chroniques parlent du « meilleur album du groupe depuis Back in Black », comme c'est le cas depuis The Razor's Edge. Info ou intox ?

Tout d'abord, adieu le côté bluesy et épuré de Ballbreaker et surtout de Stiff Upper Lip, et retour à la bonne grosse prod' qui déborde de partout comme sur The Razor's Edge. Le groupe revient sur de bases beaucoup plus rock que portées vers le boogie ou le blues. De plus, lorsque l'on écoute l'album, on a réellement l'impression d'un travail de groupe (la basse de Cliff Williams est omniprésente) plus qu'un album des frangins Young. Brian Johnson revit sur BI et propose une partition beaucoup plus variée que ce que l'on a connu ces derniers temps.

Et l'on trouve quelques légères innovations, comme ce bottleneck sorti de nulle part sur ce superbe Stormy May Day, et ce titre au côté plus pop qu'est Anything Goes, un titre comme AC/DC n'en avait composé depuis bien longtemps, fait pour attirer les foules. Mais aussi une ballade (comparé au reste de la discographie bien entendu), Rock'N'Roll Dream, un créneau que le groupe n'avait pas emprunté depuis Love Song et Ride On, trente ans tout de même !

080827acdc2008

Mais, restons calmes. AC/DC reste AC/DC : 15 titres, presque une heure de riffs de partout, les boyz nous ont gâtés. Et ces 15 titres rappellent différentes périodes du groupe : du single imparable Rock'n'Roll Train (moins efficace que le sublime Stiff Upper Lip, mais bien meilleur que le poussif Hard As A Rock), au réminiscences d'High Voltage (Wheels), en passant par des riffs ou des refrains de la période Stiff Upper Lip (Decibel ou She Likes Rock'nRoll).

Mais ce retour au riff rock'n'rollesque ne plaira pas à tous : le boogie -rock de Ballbreaker et le blues intimiste de Stiff Upper Lip avaient fait leur preuve et montré une autre facette du groupe, qui lui avait permis d'asseoir une notoriété retrouvée depuis TRE.


We like Rock'n'Roll !!


Les essais du single sympatoche (Anything Goes) est plutôt négocié gentiment mais sans pour autant casser des briques. On pourra regretter quelques titres dispensables comme Smash'n'Grab, Decibel (oh, quelle mauvaise chute de studio de SUL), Money Made, ou encore Rockin' All The Way (eh, les mecs ! ZZ Top, c'est pas vous !).

Mais il reste toujours à AC/DC cette indicible puissance de créer des morceaux extraordinaires, imparables, géniallissimes, qui méritent à eux seuls l'acquisition légale de ce disque, Big Jack et son intro simplissime mais si réussie, un Black Ice anthologique qui clôt l'album (un riff magique, refrain, solo, et riff magique de retour. Qui dit mieux ?), un Wheels qui montre que ce sont dans les vieux pots que l'on choppe parfois les meilleurs riffs, un Spoiling For the Fight très agréable, mais surtout un She Likes Rock'N'Roll orgasmique, AC/DC dans toute sa splendeur avec son refrain magique, un solo de grande classe, bref, le morceau de l'album.

Cover_Acdc_RockNRollTrain

 

Bref, on a eu droit à un grand album encore une fois. Malgré une première écoute qui peut laisser un peu sur la faim, on apprend à apprivoiser cet album de qualité. Mais est-ce véritablement un classique ? Le temps le dira. Le groupe, lui, semble lui donner une vraie chance sur scène, au contraire de SUL, avec pas moins de 4-5 titres interprétés lors des premières dates du groupe.

Et à voir les places de N°1 dans 29 pays, des reportages sur pratiquement toutes les chaînes, l'obamania semble sur le point de céder sa place à une ACDCmania : « Yes, we rock !! ». D'ailleurs, pour cause d'envahissement massif des deux dates de Bercy en Février prochain, il est en question que le groupe investisse un fameux stade de la capitale, le 13 juin prochain, SDF ou PDP ?

A Ecouter :

Big Jack

She Likes Rock'N'Roll

Rock'n'Roll Dream

Black Ice


30 octobre 2008

C'est l'heure de Slayer (bientôt)

efcf3a18d2Les papys du rock sont en forme en ce moment. Après une actu dominée par les Mets, AC/DC ou encore Led Zeppelin, voici que les sanguinaires de Slayer viennent de poser coup sur coup deux vidéos sur le net, ici et , mais aussi un morceau en entier !!

Quel changement !! Qui aurait pu imaginer les furieux américains sortir les guitares accoustiques, s'acoquiner avec Timbaland, et proposer un duo avec Justin... Nan, je déconne. Avant de me faire démonter par Kerry King, je vous annonce que la guerre aura lieu durant l'été 2009. War ensembleeeee !!


22 octobre 2008

TRON 2.0

tron_1024Tron, film culte des années 80, le premier réalisé à l'aide d'images de synthèse, devrait connaître une suite. Ce lui-ci serait réalisé par Joe Kosinski, Jeff Bridges y devrait reprendre son rôle de Kevin Flynn/Clu.

Peu de choses ont filtré sur cette suite (désolé pour la qualité): les scénaristes de Lost plancheraient sur le script, tandis que l'histoire se déroulerait dans un ghetto informatique où vivent les stars déchus du jeu vidéo. Le film sortirait au meilleur des cas en début d'année 2009, au pire en 2011, ça c'est de l'info !!


En tout cas, vivement de voir la gueule du cycle lumineux des années 2000 !!

TRON_756179

2 octobre 2008

METALLICOMEBACK

 

METALLICA : DEATH MAGNETIC

death_magnetic

Metallica, quoiqu'il fasse, fera toujours parler de lui. Alors, imaginez pour la sortie d'un nouvel album !

Presque deux décennies après des galettes qui ont fait gonfler le débat sur Metallica (depuis le Black Album en fait), et quelques années après un St Anger qui aura apporté son lots de glaviots à la face des four horsemen, après les nombreuses épisodes à la Martine : « Metallica et son coach », « Metallica et son chanteur en cure », « Metallica se fout sur la gueule », « Lars fait caca pendant que James boit de l'eau », leur nouvelle rondelle est enfin dans les bacs.

A quoi s'attendre ? Les « kill, kill, kill, kill, KILL !! » répétés à l'envi en guise de conclusion à St Anger sonnaient-ils comme l'arrêt de mort du plus grand groupe ? Le crime était-il parfait ?

Surprise, en guise de tous premiers sons sur Death Magnetic : des battements de coeur... Derniers souffle d'un monstre agonisant et chronique d'une mort annoncée par beaucoup ou retour de parmi les morts, tel un messie métallique, prêt à refaire parler la poudre ?

metallica

Puis au bout d'une minute, un sentiment que l'on avait si peu connu depuis des années nous envahit : That Was Your Life est une véritable claque dans la gueule. Un retour à l'époque And Justice For All, ce morceau nous remémore des brulôts tels que « Blackened » et « Dyer's Eve », avec un riff d'intro assourdissant, ses nombreux breaks, des harmoniques à tous les niveaux et un solo ( ça faisait près de dix ans qu'il n'en avait pas composé, le gars Kirk !!). Et si cette impression durait 75 min ( pour 10 titres, encore une réminiscence de l'ancien temps ) ? Soyons fous...

Oui, cet album replonge dans l'époque où Metallica incarnait le Metal avec un grand M ( That Was..., The Day That Never Comes, un titre que l'on aurait qualifié de honteux plagiat de One, si celui-ci avait été composé par un autre groupe. Pourtant, il montre un côté de Metallica mélodie/violence et noirceur qui fait plaisir à retrouver ), avec ses envolées et ses breaks incessants ( All Nightmare Long, qui par quelques courts moments nous ramènent plus de vingt ans en arrière !! ), ses riffs ingénieux, rapides, ses tagda-tagada-tagada, mélangés à une certaine furie trash, qui font le plus grand bien aux esgourdes ( That Was encore une fois, My Apocalypse,...), des mid-tempos ravageurs ( Cyanide, The Judas Kiss, The End Of The Line ). Et que dire du morceau-phare, Broken, Beat and Scarred et son riff apocalyptique, sa construction dantesque qui en font un des meilleurs morceaux de l'album !!

Mais tout n'est pas parfait, oh non :  la première moitié de l'album largement au-dessus de la seconde des solos franchement mouais mais pas top et une batterie trop mise en avant, des titres souvent trop longs qui n'ont pas la qualité épique de leurs prédécesseurs ( Tout est dit en cinq minutes pour The End Of The Line et The Judas Kiss, un instru/assemblage de riffs très anecdotique très loin des classiques Orion et Call of Ktulu),. Le troisième volet de The Unforgiven n'apporte pas non plus énormément d'eau au moulin, mais reste potable, malgré tout.

La production tonique de Rick Rubin, célèbre pour ses collaborations avec AC/DC, Slipknot ou SOAD, donne à cette mort magnétique un son correct comparé à la soupe immonde de St Anger. Pourtant, le mix en avant de la batterie couvre parfois les guitares et le chant, ce qui est assez frustrant.

Et surtout, où est Robert Trujillo, l'un des meilleurs bassistes à la technique incroyable et variée ? A part l'instru et l'ouverture de Cyanide, on l'entend à peine. Et si le poste de bassiste serait un faire-valoir au sein de Metallica (et une bonne réserve à thunes !). Finalement, c'est encore James Hetfield qui s'en sort le mieux : des rythmiques qui déchirent tout ( c'est pas un comble, sur un solo, de kiffer les rythmiques ? ), un chant qui colle aux morceaux, notamment sur All Nightmare Long, ou Broken, Beat and Scarred bref, du bon taf.

«  Metallica est le Mc do du métal » : il semble assez malvenu de comparer la musique à un burger. Certes, Metallica semble devoir faire du Metallica pour accrocher les foules, mais Iron Maiden fait du Maiden, Motörhead fait du Motörhead et ne parlons pas d'AC/DC... Sans bouger d'un iota de leur recette et récolter un succès de plus en plus immense, en termes de thunes mais aussi de respect. Et c'est sûrement pour ça qu'on les aime. Alors, non, Death Magnetic n'atteint pas les sommets de l'ère des 80's. Mais ce n'est pas ce qu'on lui demande. Death Magnetic est un très bon album, celui que l'on aurait peut-être du découvrir après l'album noir, ou même après ... And Justice, et qui nous promet de bons moments en live. Mais, vu le nombre que l'on est à donner notre avis, ceci n'est que le mien.

51311_Metallica_Skull_and_Flames_Posters

A écouter :

 

That Was Just Your Life

 

Broken, Beat and Scarred

 

All Nightmare Long

 

The Day That Never Comes

Publicité
2 octobre 2008

The Gojira Way

heading

Le nouvel album de Gojira est en écoute intégrale ici. A vous de vous faire une opinion sur cette nouvelle livraison très attendue dans le microscome métallique français et international !!

5 septembre 2008

Black is beautiful !!

Batman_The_Dark_Knight

BATMAN : THE DARK KNIGHT

N'étant pas fan de la première heure des films de super-héros, ( Spiderman, premier du nom, est tout juste divertissant, quant aux autres... Superman Returns est une daube sans nom, épargnez-moi la vision philosophique de X-Men : « les X-Men, c'est une parabole de la discrimination », et j'en oublie certains qui ont failli me faire rendre au bout de quinze minutes ( les quatre crevards... euh, fantastiques, par exemple ), j'avais été agréablement surpris en visionnant Batman Begins. C'est pourquoi je me rends d'un pas optimiste pour voir une suite qui cartonne autant au box-office que dans les compte-rendus de critiques, ce qui n'est pas un mince exploit.

Christopher Nolan, rélisateur de l'indispensable Mémento et du facilement oubliable Insomnia, replonge donc dans l'univers de l'homme chauve-souris. Pas ou peu de changements : Christian Bale fait encore le chiroptère avec talent, et est entouré de la même équipe (Michaël Caine, Morgan Freeman,....). Mais ce qui fait la force du film, c'est l'arrivée d'un procureur aussi justicier que Batman, Harvey Dent ( Aaron Eckhart ) et surtout un Heath Lodger littéralement habité par le Joker.

Le Joker : la bonne carte du film.

18800971Il y a eu Dark Vador, Hannibal Lecter ou encore le Terminator. Il faudra compter maintenant sur le Joker de The Dark Knight parmi les plus grands méchants de l'histoire du cinéma. Une véritable démonstration du régretté acteur australien, ébouriffant dans sa revisite du rôle qu'avait tenu Jack Nicholson il y a presque vingt ans et qu'il éclipse littéralement.

Dès le début du film, l'attaque de la banque, qui rappelle l'univers des films des 70's et qui est également, d'après le réalisateur, un hommage au film Heat, le Joker occupe la totalité du champ de la caméra. Il est d'ailleurs intéressant de remarquer que ses interventions sont filmés par de nombreux longs plans fixes, où Ledger manipule la caméra à sa guise et met mal à l'aise le spectateur devant sa conviction à être mauvais, violent, narquois et violent.

La scène de bravoure : la rencontre entre un Harvey Dent détruit moralement et physiquement à l'hôpital et Nurse Joker qui montre son pouvoir manipulateur au grand jour, lui qui ne passait alors que pour un psychopathe sans cervelet et sans pitié. Sa sortie de l'hôpital est aussi un grand moment. Rien que pour ce numéro d'acteur réellement impressionant, le film vaut le coup.

Une obscure justice

The Dark Knight en lui-même est une réussite. Les mêmes ingrédients du précédent opus sont ici repris : qu'est ce qui anime Batman, par exemple ? La mort de ses parents semble effacée de sa mémoire, et sa soif de justice, une justice pratiquement aveugle finalement,  lui fait utiliser des moyens de surveillance proche de Big Brother et loin de son idéal de paix ( l'a-t-il jamais voulu ?) qu'il prétend défendre.

Les moyens utilisés pour piéger le Joker donnent lieu à des faux-semblants, la corruption est aussi présente dans la société et la police de Gotham que la pègre, Batman reste très violent, Bruce Wayne apparaît comme un Rockefeller des temps modernes, Dent « Le Chevalier Blanc », devenu Double Face,  se transforme en une bête assoiffée de justice après la mort de son amie ( d'ailleurs, il est rare de voir un personnage féminin connaître une fin aussi atroce). Bref, contrairement aux pauvres films moralisateurs genre Michael Bay presents, la frontière entre le bien et le mal est tellement ténue que chaque personnage (même le Joker, aussi atroce soit-il) parvienne à se retrouver des deux côtés. Seuls Alfred ( Michaël Caine ) et Lucius Fox ( Morgan Freeman ) semblent être immunisés, ainsi que Rachel Dawes ( Maggie Gyllenhaal ), ce qui la tuera.

Film d'action quand même

Pour les amateurs de grosses baffes sur écran, n'ayez pas peur, le film laisse largement la place aux grosses scènes d'action, ( la poursuite entre le Joker et ses sbires et un prisonnier par exemple). On peut par contre être déçu par une fin plutôt molle et convenue, mais qui, à l'instar de l'opus précédent, ouvre la voie à un troisième volet qui, vu le succès de la franchise, verra très certainement le jour.

5 septembre 2008

METALLICA EN AVANCE

Un gazier parisien a fait une petite boulette au nez de Lars and Co et a mis en vente Death Magnetic il y a quelques jours. Résultat : la date de sortie de l'opus est avancé au 9 septembre. Je n'ai qu'une chose à dire : merci mec !!

30 août 2008

Avant-première

metallica281

Comme tout bon métalleux, vous savez que Death Magnetic, la prochaine livraison des Four Horsemen de Metallica est prévue pour le 12 septembre prochain. En voici le track-listing définitif, avec quelques écoutes rien que pour vos petites esgourdes sympatoches :

1 – That Was Just Your Life.

2 – The End Of The Line.

3 – Broken, Beat and Scarred.

4 – The Day That Never Comes.

5 – All Nightmare Long.

6 – Cyanide.

7 – The Unforgiven III.

8 – The Judas Kiss.

9 – Suicide and Redemption.

10 – My Apocalypse.

 

Ces nouveaux morceaux se rapprochent du Metallica des 80's ( « One » pour « The Day... » par exemple )et de la période « Black Album », tout en gardant une sonorité moderne, ce qui apaisera ( légèrement ) les die-hard fans qui finissent juste de vomir la bile qu'ils avaient en eux depuis St Anger, leur dernier album ( qui le fait quand même plus que Load et Re-load ). Ce qui est sûr, c'est que ce « Death Magnetic » va alimenter les gazettes métalliques durant de nombreux mois.

Pour piocher d'autres infos, c'est ici.

28 août 2008

EXCLU !!

Voici rien que pour vous et en exclu le tout dernier single d'AC/DC : Rock 'N' Roll Train, avant l'album ( Black Ice ) qui sortira le 20 octobre prochain.
Le côté blues de Stiff Upper Lip mis de côté, un léger côté Free pour le riff d'ouverture, des choeurs rappelant l'époque The Razor's Edge... Mais comme toujours un putain de riff concocté par les frangins Young, et un solo qui déchire notre putain de race.
Mmmh, ça sent bon !!

Publicité
1 2 > >>
GDC NEWS
Publicité
Publicité